“Lapis Lazuli“, un court-métrage réalisé par un ami, Boris Dieval, sera projeté le mardi 20 janvier à 20h00, au Cinéma des Cinéastes de l’ARP (7 avenue de Clichy, Paris 17) avec 5 autres court-métrages.
Je n’ai pas encore vu Lapis Lazuli, mais ça m’a l’air d’être un film très vibrant. Je ne dis pas ça (seulement) parce que Boris est un ami, mais aussi par rapport à ce qu’en dit une journaliste dans un reportage :
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“Je reste moi-même désemparé devant l’idée de faire le deuil d’une partie de moi-même”. Ces mots de Boris Dieval résument à eux seuls tout le drame de la fin d”adolescence que vivent les personnages de son premier film LAPIS LAZULI. Première projection au Gaumont. C’est la fin d’un autre cycle, celui de 2 années de travail et de galère pour donner finalement naissance à un road movie sur la Côte d’Opale.
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Boris Dieval signe un film très personnel, tout en retenu et en subtilité.
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La confusion du jeune réalisateur et ses propres interrogations donnent à son court-métrage une innocence bouleversante. La forme, très épurée est servie par la beauté des paysages, la lumière. Le casting est impeccable. Le rôle principal est sobrement interprété par Johan Libéreau nominé aux césars 2007 pour son rôle dans les Témoins de Téchiné.
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La salle neuve du Gaumont, pleine, à la surprise du réalisateur, est touchée.
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